Karat, Über sieben Brücken musst Du gehen, 1978
Manchmal geh ich
meine Strasse ohne Blick
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Karat, Il te faut franchir sept ponts, 1978
Parfois, je poursuis ma route sans un regard Parfois, je voudrais retrouver mon cheval à bascule Parfois, je vais sans trêve et sans repos Parfois, je ferme à clé toutes les portes derrière moi
Parfois j'ai froid, parfois trop chaud Parfois je ne sais plus ce que je sais Parfois je suis fatigué dès le matin Et cherche la consolation dans une chanson
Refrain : Il te faut franchir sept ponts Surmonter sept années sombres Sept fois tu seras réduit en cendres Mais une fois aussi tu auras l’éclat de la flamme
Parfois, l'horloge de la vie semble être arrêtée Parfois, on a l'impression de ne tourner qu’en rond Parfois on se languit des vastes horizons Parfois on reste assis sans rien dire sur un banc Parfois on cherche à saisir le monde entier Parfois on pense que sa bonne étoile va tomber Parfois on s’attarde à des riens alors qu’on aurait plutôt envie de passer son chemin Parfois on hait ce que l’on aime pourtant
Refrain : Il te faut franchir sept ponts Surmonter sept années sombres Sept fois tu seras réduit en cendres Mais une fois aussi tu auras l’éclat de la flamme |